Sommaire : Environnement:


http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89cologie

Écologie-Wikipédia Écologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre Aller à: Navigation, rechercher L'écologie est au sens large le domaine de réflexion

qui a pour objet l'étude des interactions, et de leurs conséquences, entre un individu (isolé et/ou en groupe social constitué) et le milieu biotique et abiotique

qui l'entoure et dont lui-même fait partie; les conséquences étant celles sur le milieu,

mais aussi celles sur l'individu lui-même Cette acception générale (dite large) fait de l'écologie un domaine de réflexion très vaste,

puisque par biotique il faut entendre la totalité du monde vivant (les animaux, les plantes, les micro-organismes,

avec leur habitat et l'environnement, ainsi qu'avec les autres êtres vivants 1. Une autre définition proche est l'étude scientifique des interactions

celui des êtres vivants (biocénose) et le milieu physique (biotope), le tout formant l'écosystème (mot inventé par Tansley.

et de matières (réseaux trophiques) circulant dans un écosystème. L'écosystème désigne une communauté biotique et son environnement abiotique 2

De fait, malgré une confusion extrêmement fréquente, l'écologie ne doit pas être confondue avec l'écologisme ou avec l'environnementalisme

ou philosophique adoptés face au questionnement sur l'environnement ou la sauvegarde de l'écologie. citation nécessaire

scientifique 4. 1 Biosphère et Biodiversité 4. 2 Écosystème 4. 3 Homéostasie 4. 4 Biomes 4. 5 Productivité des écosystèmes 5 Crises

Végétation sur les monts Ruwenzori L'écologie vient du grec???"oikos"(la maison, le domaine et, par extension,

ce qui entoure et dont on fait partie, c'est à dire la biosphère); et???"logos"(discours raisonné et argumenté, sciences, savoir, connaissance

Il existe en biologie divers niveaux d'organisation, celui de la biologie moléculaire, de la biologie cellulaire, la biologie des organismes (au niveau individu et organisme), l'étude des populations, l'étude des communautés, les écosystèmes et la biosphère

qui étudie les relations entre un processus physiologique et les facteurs environnementaux; l'auto-écologie (ou autécologie),

qui étudie les relations entre un type d'organisme et les facteurs de l'environnement;

l'ergomotricité qui aide l'homme à se mettre en relation avec son milieu environnemental. la synécologie,

qui étudie les relations entre une communauté d'individus d'espèces différentes et l'environnement;

l'étude des écosystèmes; l'écologie globale, qui étudie l'écologie à l'échelle de l'écosphère ou biosphère (totalité des milieux occupés par des êtres vivants);

En tant que science biologique, l'écologie est liée fortement à d'autres branches de la biologie, principalement, la génétique des populations, la physiologie,

l'éthologie et les sciences de l'évolution 2. Elle est également en lien avec la géologie pour l'étude de l'environnement abiotique, notamment la pédologie (l'étude des sols) et la climatologie ainsi que la géographie humaine et physique.

Agroécologie-biogéographie-Écologie appliquée-Écologie animale-Écologie aquatique-Écologie comportementale-Écologie chimique-Écologie de la conservation-Écologie évolutive ou Ecoévolution-Écologie de l'anthropologie-Écologie des écosystèmes

-Éco-épidémiologie-Écotoxicologie-Écologie globale-Écologie humaine-Écologie de terrain-Macroécologie-Écologie mésologique-Écologie microbienne-Écologie moléculaire-Paléoécologie-Écologie des populations-Écologie de restauration

modifier Biosphère et Biodiversité L'écologie est une science qui étudie les écosystèmes à plusieurs niveaux:

la population (individus de la même espèce), la biocénose (ou communauté d'espèces), les écotones et les écosystèmes des différents habitats (marins, aquatiques, terrestre, ect.

et la biosphère. La Terre, d'un point de vue écologique, comprend plusieurs systèmes; l'hydrosphère (ou sphère de l'eau), la lithosphère (ou sphère du sol) et l'atmosphère (ou sphère de l'air

La biosphère s'insère dans ces systèmes terrestres, elle est partie la vivante de la planète, la portion biologique

qui abrite la vie qui se développe. Il s'agit d'une dimension superficielle localisée,

qui descend jusqu'à 11 000 mètres de profondeur et s'élève jusqu'à 15 000 mètres d'altitude par rapport au niveau de la mer.

La majorité des espèces vivantes vivent dans la zone située de-100 mètres à+100 mètres d'altitude

La vie s'est développée tout d'abord dans l'hydrosphère, à faible profondeur, dans la zone photique.

Des êtres pluricellulaires sont ensuite apparus et ont pu coloniser également les zones benthiques. La vie terrestre s'est développée plus tardivement,

après que se soit formée la couche d'ozone protégeant les êtres vivants des rayons ultraviolets. Les espèces terrestres vont d'autant plus se diversifier

que les continents vont se fragmenter, ou au contraire se réunir. Biosphère et biodiversité sont indissociables, caractéristiques de la Planète terre.

On définit la biosphère comme étant la sphère du vivant alors que la biodiversité en est la diversité.

La sphère est le contenant, alors que la diversité en est le contenu. Cette diversité s'exprime à la fois au niveau écologique (écosystème), population (diversité intraspécifique) et espèce (diversité spécifique

La biosphère contient de grandes quantités d'éléments tels que le carbone, l'azote et l'oxygène.

D'autres éléments, tels que le phosphore, le calcium, le potassium sont également indispensables à la vie.

Au niveau des écosystèmes et de la biosphère, il existe un recyclage permanent de tous ces éléments,

qui alternent l'état minéral et l'état organique (cycles biogéochimiques). En effet, le fonctionnement des écosystèmes est basé essentiellement sur la conversion de l'énergie solaire en énergie chimique par les organismes autotrophes,

grâce à la photosynthèse (il existe aussi une chimiosynthèse sans utilisation de l'énergie solaire). Cette dernière aboutit à la production de sucres et à la libération d'oxygène.

libérant ainsi de l'eau, du dioxyde de carbone et l'énergie nécessaire à leur fonctionnement. Ainsi, l'activité des êtres vivants est à l'origine de la composition spécifique de l'atmosphère terrestre,

la circulation des gaz étant assurée par de grands courants aériens Les océans sont de grands réservoirs,

qui stockent les échanges de l'eau, assurent une stabilité thermique et climatique, ainsi que le transport des éléments chimiques grâce aux grands courants océaniques

De même, la composition des sols est la résultante de la composition de la roche mère, de l'action géologique et des effets cumulatifs des êtres vivants

Pour mieux comprendre le fonctionnement de la biosphère, l'équilibre énergétique et les dysfonctionnements liés à l'activité humaine,

des scientifiques américains ont réalisé, sous serre, un modèle réduit de la biosphère, appelée Biosphère II modifier Écosystème

Article détaillé: Écosystème Le premier principe de l'écologie est que chaque être vivant est en relation continuelle avec tout

ce qui constitue son environnement. On dit qu'il y a un écosystème dès qu'il y a interaction durable entre des organismes et un milieu

L'écosystème est analytiquement différencié en deux ensembles qui interagissent la biocénose, composée de l'ensemble des êtres vivants le milieu (dit biotope.

Au sein de l'écosystème, les espèces ont entre elles des liens de dépendance, dont alimentaire. Elles échangent entre elles et avec le milieu

qu'elles modifient, de l'énergie et de la matière. La nécromasse en est un des éléments.

La notion d'écosystème est théorique: elle est multiscalaire (multi-échelle), c'est-à-dire qu'elle peut s'appliquer à des portions de dimensions variables de la biosphère;

un étang, une prairie, ou un arbre mort. Une unité de taille inférieure est appelée un microécosystème.

Il peut, par exemple, s'agir des espèces qui ont colonisé une pierre immergée. Un mésoécosystème pourrait être une forêt,

et un macro-écosystème une région et son bassin versant Les principales questions se posant à un écologue lors de l'étude des écosystèmes sont

comment a pu se réaliser la colonisation d'une terre aride? comment s'est poursuivie cette évolution?

l'état actuel est-il stable? quelles sont les relations existant entre les différents éléments du système?

Les écosystèmes sont classés souvent par référence aux biotopes concernés. On parlera d'écosystèmes continentaux (ou terrestres),

tels que les écosystèmes forestiers (forêts), les écosystèmes prairiaux (prairies, steppes, savanes), les agro-écosystèmes (systèmes agricoles);

d'écosystèmes des eaux continentales, pour les écosystèmes benthiques (lacs, étangs) ou écosystèmes lotiques (rivières, fleuves;

d'écosystèmes océaniques (les mers, les océans. Une autre classification pourra se faire par référence à la biocénose (par exemple,

on parlera d'écosystème forestier, ou d'écosystème humain modifier Homéostasie Article détaillé: Homéostasie Le biotope,

ou milieu de vie, est caractérisé classiquement par un ensemble de paramètres géologiques, géographiques et climatologiques, dits facteurs écologiques abiotiques.

En réalité le sol est vivant, et le climat et divers paramètres géographiques écopaysagers sont en permanence rétrocontrolés par le vivant.

Ce ne sont donc pas des compartiments stables ni indépendants des écosystèmes. Cette manière de présenter le biotope est donc simplificatrice et purement théorique,

mais elle est acceptée par la science réductionniste. Les tenants d'une approche plus holistique des écosystèmes considèrent plutôt l'écosystème et le biotope comme un élément de la biosphère

comme un organe est un élément d'un organisme Dans l'approche classique, les éléments dits abiotiques sont

l'eau, à la fois élément indispensable à la vie, et parfois milieu de vie; l'air,

qui fournit le dioxygène et le dioxyde de carbone aux espèces vivantes, et qui permet la dissémination du pollen et des spores;

le sol, à la fois source de nutriment et support de développement; la température, qui ne doit pas dépasser certains extrêmes,

même si les marges de tolérance sont importantes chez certaines espèces; la lumière, permettant la photosynthèse.

La biocénose est un ensemble de populations d'êtres vivants, plantes, animaux, microorganismes. Chaque population est le résultat des procréations entre individus d'une même espèce

et cohabitant en un lieu et en un temps donné. Lorsqu'une population présente un nombre insuffisant d'individus, l'espèce risque de disparaître,

soit par sous-population, soit par consanguinité. Une population peut se réduire pour plusieurs raisons, par exemple, disparition de son habitat (destruction d'une forêt) ou par prédation excessive (telle que la chasse d'une espèce donnée

La biocénose se caractérise par des facteurs écologiques biotiques, de deux types: les relations intraspécifiques et interspécifiques

Les relations intraspécifiques sont celles qui s'établissent entre individus de la même espèce, formant une population.

Il s'agit de phénomènes de coopération ou de compétition, avec partage du territoire, et parfois organisation en société hiérarchisée

Les relations interspécifiques, c'est-à-dire celles entre espèces différentes, sont décrites nombreuses et en fonction de leur effet bénéfique, maléfique ou neutre (par exemple, la symbiose (relation++)ou la compétition (relation)).

--La relation la plus importante est la relation de prédation (manger ou être mangé), laquelle conduit aux notions essentielles en écologie de chaîne alimentaire (par exemple, l'herbe consommée par l'herbivore,

Ces recyclages permanents des éléments (en particulier le carbone, l'oxygène et l'azote) ainsi que l'eau sont appelés cycles biogéochimiques.

Ils confèrent à la biosphère une stabilité durable (tout du moins en dehors des interventions humaines et des phénomènes géoclimatiques exceptionnels.

assure la pérennité des écosystèmes et se manifeste par une très grande constance du taux des divers éléments présents dans chaque milieu.

L'écosystème tend également à évoluer vers un état théorique d'équilibre idéal, contredit par les aléas externes ou internes,

le climax (par exemple un étang peut devenir une tourbière modifier Biomes Article détaillé: Biomes Les biomes sont des regroupements biogéographique d'écosystèmes par régions climatiques.

Le biome constitue une formation biogéographique d'aspect homogène sur une vaste surface (par exemple, la toundra ou la steppe.

L'ensemble des biomes, ou ensemble des lieux où la vie est possible (depuis les plus hautes montagnes jusqu'aux abysses) constitue la biosphère

Les écosystèmes ne sont isolés pas les uns des autres, mais interdépendants. Par exemple, l'eau circule de l'un à l'autre par le biais de la rivière ou du fleuve.

Le milieu liquide lui-même définit des écosystèmes. Certaines espèces, telles les saumons ou les anguilles d'eau douce passent d'un système marin à un système d'eau douce et vice versa.

Ces relations entre les écosystèmes ont amené à proposer la notion de biome Les biomes correspondent assez bien à des subdivisions réparties latitudinalement, de l'équateur vers les pôles,

en fonction du milieu (aquatique, terrestre, montagnard) et du climat (la répartition est fondue généralement sur les adaptations des espèces au froid et/ou à la sécheresse).

Par exemple, on trouve en mer des plantes aquatiques seulement dans la partie photique (où la lumière pénètre),

tandis qu'on trouve principalement des conifères en milieu montagnard Ces divisions sont assez schématiques mais, globalement,

latitude et altitude permettent une bonne représentation de la répartition de la biodiversité au sein de la biosphère.

Très généralement, la richesse en biodiversité, tant animale que végétale, est décroissante depuis l'équateur (comme au Brésil) jusqu'aux pôles

Un autre mode de représentation est la division en écozones, laquelle est aujourd'hui très bien définie

et suit essentiellement les bordures continentales. Les écozones sont divisées elles-mêmes en écorégions, quoique la définition de leurs contours soit plus controversée

modifier Productivité des écosystèmes Dans un écosystème, les liens qui unissent les espèces sont le plus souvent d'ordre alimentaire.

On distingue trois catégories d'organismes les producteurs (les végétaux chlorophylliens), qui consomment de la matière minérale

et produisent de la matière organique: ce sont des autotrophes; les consommateurs (les animaux), qui peuvent être de premier ordre (phytophage), de deuxième ordre ou plus (les carnivores) et

qui sont des hétérotrophes; les décomposeurs (les bactéries, champignons) qui dégradent les matières organiques de toutes les catégories,

et restituent au milieu les éléments minéraux. Ces relations forment des séquences, où chaque individu mange le précédent

et est mangé par celui qui le suit, on parle de chaîne alimentaire (en théorie) ou de réseau alimentaire.

Ces notions ont donné aussi naissance au terme de biomasse (masse totale de matière vivante en un lieu donné),

puisqu'elles permettent d'évaluer le nombre d'êtres vivants pouvant être supportés par un écosystème donné,

La productivité des écosystèmes est estimée parfois en comparant trois ensembles terrestres et un ensemble continental

l'ensemble forêt (1/3 de la surface émergée) représente une forte biomasse et une forte productivité.

La production totale des forêts correspond à la moitié de la production primaire. les savanes,

prairies et marais (1/3 de la surface émergée) représentent une faible biomasse, mais une bonne productivité.

Ces écosystèmes représentent la majeure partie de ce qui nourrit l'espèce humaine. les écosystèmes terrestres extrêmes (déserts, toundra, prairies alpines,

steppes)( 1/3 de la surface émergée) ont une biomasse et une productivité très faibles. enfin,

les écosystèmes marins et d'eau douce (3/4 de la surface totale) représentent une très faible biomasse (en dehors des zones côtières).

Les actions humaines des derniers siècles ont porté à réduire notablement la surface forestière (déforestation) et à augmenter les agroécosystèmes (pratique de l'agriculture).

Ces dernières décennies, une augmentation de la surface occupée par des écosystèmes extrêmes est observée (désertification

Vue d'artiste de la Terre vue depuis l'espace D'une façon générale, une crise écologique est produit

ce qui se lorsque l'environnement biophysique d'un individu, d'une espèce ou d'une population d'espèces évoluent de façon défavorable à sa survie

Il peut s'agir d'un environnement dont la qualité se dégrade par rapport aux besoins de l'espèce, suite à une évolution des facteurs écologiques abiotiques (par exemple, lors d'une augmentation de la température, de pluies moins importantes).

Il peut aussi s'agir d'un environnement qui devient défavorable à la survie de l'espèce (ou d'une population) suite à une modification de l'habitat.

Par exemple, lors de pêche industrielle intensive, les prélèvements par les prédateurs et l'augmentation de la fréquence de la perturbation de l'environnement modifie les conditions d'habitat

Environnement et religion modifier Notes et références #Définition du dictionnaire Larousse#a et b Charles J. Krebs, Ecology, Benjamin Cummins, 5e éd,

populations, communautés, écosystèmes, biosphère, noosphère Doin éditeurs 1984 (ISBN 2-7040-0351-3) Patrick Matagne Comprendre l'écologie et son histoire.

Anatomie Biochimie Bio-informatique Biologie cellulaire Biologie de l'évolution Biologie humaine Biologie marine Biologie moléculaire Botanique Écologie Exobiologie Génétique Génomique Géobiologie

Environnement/Articles liés Portail: Conservation de la nature/Articles liés Outils personnels Nouvelles fonctionnalités Créer un compte


http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9veloppement_durable

afin de prendre en compte les aspects environnementaux généraux d'une planète globalisée Selon la définition proposée en 1987 par la Commission mondiale sur l'environnement et le développement dans le rapport Brundtland 1,

le développement durable est un développement qui répond aux besoins des générations du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs.

que l'état de nos techniques et de notre organisation sociale impose sur la capacité de l'environnement à répondre aux besoins actuels

qui se manifeste désormais de manière mondialisée (changement climatique, raréfaction des ressources naturelles avec en particulier le rapprochement du pic pétrolier,

afin de prendre en compte les aspects environnementaux, culturels et sociaux du développement Il s'agit aussi, en s'appuyant sur de nouvelles valeurs universelles (responsabilité, participation écologique et partage 2,

nous avons le droit d'utiliser les ressources de la Terre, mais le devoir d'en assurer la pérennité pour les générations futures;

chaque humain a le même droit aux ressources de la Terre (principe de destination universelle des biens.

et réduire la pression sur l'environnement a fait son chemin. Nous pouvons en retracer quelques jalons majeurs

l'environnement apparaît comme un patrimoine mondial essentiel à transmettre aux générations futures. 1979: le philosophe Hans Jonas exprime cette préoccupation dans son livre Le Principe responsabilité. 1980:

Une définition du développement durable est proposée par la Commission mondiale sur l'environnement et le développement (Rapport Brundtland.

Le protocole de montréal relatif aux substances qui appauvrissent la couche d'ozone est signé le 16 septembre, signe qu'un engagement collectif est possible. 1989:

la Coalition for Environmentally Responsible Economies (CERES) définit des principes pour l'environnement, qui constituent le premier code de conduite environnemental. 1990:

le premier rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec) commence à alerter la communauté internationale sur les risques du réchauffement climatique dûs à la concentration dans l'atmosphère de gaz à effet de serre. 1991 (22 mai:

le Premier ministre français Édith cresson, qui vient de créer un ministère de l'environnement (attribué à Brice Lalonde) évoque le terme de développement durable dans son discours de politique générale. 1992 (3 au 14 juin):

La définition Brundtland, axée prioritairement sur la préservation de l'environnement et la consommation prudente des ressources naturelles non renouvelables, sera modifiée par la définition des trois piliers

et la préservation de l'environnement. 1994: publication de la charte d'Aalborg sur les villes durables, au niveau européen

l'environnement. Pour certains analystes 11, le modèle de développement industriel n'est pas viable ou soutenable sur le plan environnemental,

car il ne permet pas un"développement "qui puisse durer. Les points cruciaux en faveur de cette affirmation sont l'épuisement des ressources naturelles (matières premières, énergies fossiles pour les humains) 12, la destruction et la fragmentation des écosystèmes,

ainsi que la diminution de la biodiversité qui diminuent la résilience de la planète ou encore le changement climatique dû aux émissions de gaz à effet de serre et de manière générale la pollution due aux activités humaines.

n'implique une dégradation encore plus importante et accélérée de l'habitat humain et peut-être de la biosphère.

(qui consomme près de 25%des ressources de la Terre pour 5%de la population) il faudrait 5

La Terre vue de la Lune: une des premières visions de la Terre comme un ensemble fini et fragile

Les aspects essentiels du développement durable, sur les capacités de la planète et les inégalités d'accès aux ressources posent des questions philosophiques et éthiques

laquelle le modèle économique de l'Occident pourrait ne pas être viable sur le long terme s'il ne devenait pas plus respectueux de l'environnement.

employée par René Dubos au sommet sur l'environnement de 1972, est invoquée souvent dans les problématiques de développement durable 20.

que la prise en compte des enjeux environnementaux et sociaux nécessite de nouvelles heuristiques, qui intègrent le caractère global du développement durable.

Depuis quelques décennies, les ONG environnementales et des leaders d'opinion comme Nicolas hulot ont sensibilisé l'opinion publique sur les enjeux de l'environnement et du développement durable

La définition classique du développement durable provient du rapport Brundtland de la Commission mondiale sur l'environnement et le développement.

Nous n'héritons pas de la Terre de nos ancêtres, nous l'empruntons à nos enfants.

Ce rapport insiste sur la nécessité de protéger la diversité des gènes, des espèces et de l'ensemble des écosystèmes naturels terrestres et aquatiques,

et ce, notamment, par des mesures de protection de la qualité de l'environnement, par la restauration, l'aménagement et le maintien des habitats essentiels aux espèces,

Cette préservation de l'environnement doit être accompagnée de la satisfaction des besoins essentiels en ce qui concerne l'emploi, l'alimentation, l'énergie, l'eau, la salubrité.

Depuis les années 2000, les ONG environnementales, avec à leur tête le WWF, ont conceptualisé ces questions avec la notion d'empreinte écologique.

dépassait largement la capacité biologique de la Terre à renouveler les ressources. Il est dès lors évident

mais aussi les évolutions sociales, l'environnement et le fonctionnement démocratique des institutions, tout en contrôlant mieux les flux migratoires

c'est le rôle du progrès technique dans le développement économique par rapport aux problèmes environnementaux (mais aussi sociaux),

Alors que les physiocrates considéraient la terre co me le principal facteur créateur de valeur, l'école classique et l'école néoclassique n'ont retenu

que les deux facteurs de production capital et travail, négligeant le facteur terre (l'environnement).

Encore faut-il que celui-ci respecte les contraintes environnementales Il faut encore souligner qu'à mesure que les améliorations techniques augmentent l'efficacité avec

Il semble donc que les problèmes environnementaux que nous rencontrons soient dus au fait que le facteur de production terre n'a été pas suffisamment pris en compte dans les approches économiques récentes, notamment classique et néoclassique 31.

Un modèle de développement qui permet de concilier progrès technique, productivité, et respect de l'environnement est

donc à repenser Différentes approches de la notion de durabilité Article détaillé: Durabilité Si les objectifs du développement durable font l'objet d'un relatif consensus,

et d'autre part des ressources renouvelables (comme le bois, l'eau...32. Cette distinction étant faite, deux conceptions sur la durabilité vont s'opposer

à chaque problème environnemental correspondrait une solution technique, solution disponible uniquement dans un monde économiquement prospère 8. Dans cette approche,

et notamment de nombreuses organisations non gouvernementales ou associations environnementales, ont un point de vue tout à fait opposé à l'approche technico-économiste:

elle-même incluse dans la biosphère 37: le"capital naturel"n'est dès lors pas substituable. Afin d'insister sur les contraintes de la biosphère,

les tenants de cette approche préfèrent utiliser le terme de développement soutenable (traduction littérale de sustainable development

comme les sommets mondiaux de l'eau, qui ont lieu à des échéances plus rapprochées

Dans L'union européenne, une partie du droit de l'environnement s'est déplacé progressivement des États membres vers le niveau européen

l'environnement, la recherche et développement, et la politique étrangère, À la création de L'union européenne, en 1993, l'environnement a été traité d'une façon transversale dans le premier pilier de L'union européenne, celui

qui est intégré le plus, à travers les règlements européens et les directives européennes. L'expression développement durable apparaît pour la première fois dans un texte communautaire avec le traité d'amsterdam en 1997,

L'impact de l'environnement sur des domaines aussi vitaux que l'eau, l'énergie, les services, l'agriculture, la chimie...

que le développement durable apparaît en France comme la nécessité pour les entreprises de rendre compte des conséquences sociales et environnementales de leurs activités,

que la France était le premier pays au monde à inclure l'environnement dans sa Constitution 40

Politique environnementale des États-unis d'amérique Dans le même temps, les entreprises anglo-saxonnes tissent des réseaux d'influence autour des institutions internationales,

La CCI a joué un rôle important au sommet de la Terre de Johannesburg à l'été 2002 en créant, conjointement avec le WBCSD, le Business Action for Sustainable development réf. nécessaire

définition des problématiques et priorités sociales, environnementales et économiques du territoire, établissement d'un plan d'action précis ciblant ces problématiques, mise en oeuvre du plan d'action,

en vue de préserver la qualité de l'eau et la biodiversité. Un"référentiel écologique"devrait voir le jour d'ici la fin de l'année 2010

leurs activités modifient plus ou moins profondément l'environnement. Pour le respect d'objectifs de développement durable par les entreprises, spécifiquement on parle de responsabilité sociale des entreprises (corporate social responsability)

lequel les entreprises intègrent les préoccupations sociales, environnementales, voire de bonne gouvernance dans leurs activités et dans leur interaction avec leurs parties prenantes sur une base volontaire.

qui incite les entreprises cotées en bourse à inclure dans leur rapport annuel une série d'informations relatives aux conséquences sociales et environnementales de leurs activités

et incarner de manière tangible leurs responsabilités sociale et environnementale Outils et mesure du développement durable PIB et développement durable

qu'elle publierait dès 2010 un indice présentant la pression exercée sur l'environnement (émissions de gaz à effet de serre, réduction des espaces naturels, pollution atmosphérique, production de déchets, utilisation des ressources, consommation d'eau et pollution de l'eau),

Sur le plan économique, il est possible de donner une valeur monétaire à l'environnement (on parle alors de capital naturel) 51 ou de PIB vert Sur le plan environnemental,

on peut parler d'index de durabilité environnementale (environmental sustainability index, ESI) 52, de bilan carbone ou de tonnes de CO 2 émises (bilan carbone personnel pour les particuliers), de consommation énergétique, d'empreinte écologique...

ou est-ce un pays avec de nombreux parcs nationaux protégés (comme les États-unis)? 8 Outils d'aide à la Décision pour le Développement durable

des élus, des industriels, des associations de défense de l'environnement, des syndicats #Indicateurs de reporting et normes

Par ailleurs l'OCDE a effectué des travaux importants sur les indicateurs environnementaux, et a développé pour cela le modèle Pression État Réponse

Les principales normes et certifications à appliquer sont la norme environnementale ISO 14001, la norme sur la qualité ISO 9001, la certification OHSAS 18001 sur la santé et la sécurité au travail,

qui prennent en compte dans leur notation des critères extra-financiers (environnementaux et sociaux). Les entreprises sont jugées par ces agences sur la base de leurs rapports de développement durable,

ou de tout document permettant d'apprécier les performances économiques, environnementales et sociales. La notation sociétale est utilisée

ou la directive sur les déchets d'équipements électriques et électroniques (DEEE), pour ce qui concerne le pilier environnemental

Au niveau des États, le droit environnemental et social s'applique sur chacun de ces piliers environnemental et social (en France le code de l'environnement et le code du travail

À cet effet, elles concilient la protection et la mise en valeur de l'environnement, le développement économique et le progrès social.

Les marchés publics, soumis à une réglementation stricte, peuvent intégrer des clauses environnementales et sociales, en vertu des articles 5 et 14 du code des marchés publics 64.

qui rendent compte des conséquences environnementales et sociales de leur activité 65. Les services juridiques des entreprises doivent procéder à une veille juridique

Outre cette veille, les services juridiques sont amenés à vérifier la conformité des actions de développement durable de l'organisation dans ses déclinaisons économiques, sociales et environnementales par rapport aux normes applicables et la communication extra-financière

Le respect de critères environnementaux, sociaux, et économiques dans l'élaboration des produits d'une entreprise dépend non seulement de ses processus internes,

qui respectent des critères à la fois environnementaux, sociaux et économiques. L'ISR a une vision à long terme de nature à donner des résultats meilleurs que ceux des sociétés

comme un avantage du point de vue environnemental, car elle supprimerait la consommation de papier. En fait, on se rend compte

En particulier, ce processus n'améliore pas la qualité environnementale des produits L'informatisation massive de l'économie depuis une cinquantaine d'années nous a fait passer dans une économie dite de l'immatériel, dans

L'application aux processus métier vertueuse sur le plan du développement durable pose le problème du partage de l'information environnementale et sociale entre les entreprises et administrations,

Concernant l'application au volet environnemental proprement dit, on parlera d'écoinformatique (les Américains employant l'expression Green IT 2. 0

Le Royaume-uni a mis en place une régulation publique de l'information environnementale. La France mise sur l'effet de la loi sur les nouvelles régulations économiques pour réguler l'économie

Un autre problème crucial qui se pose est de savoir quels sont les impacts de la course à la puissance informatique en matière environnementale,

Cependant, ils rencontrent des limites dans la mesure où il n'existe pas de comptabilité environnementale intégrée dans les entrepises, faute de normes et de directives publiques dans ce domaine.

pour l'environnement et des secteurs connexes (voir domaines d'application des métadonnées). L'Environmental Protection Agency et l'Agence européenne de l'environnement utilisent déjà des registres de métadonnées. 82 La convergence entre l'internet et le développement durable fait l'objet des réflexions du forum TIC21 83.

L'association ADOME (Association pour le Développement d'Outils Multimedia appliqués à l'Environnement) 84 a développé un moteur de recherche du développement durable, Ecobase 21, composé de 70 000 liens.

et évaluer les directives européennes en matière d'environnement. Les systèmes wiki comme l'encyclopédie Ekopedia ou Wikia Green 85 sont également des initiatives intéressantes pour structurer globalement les données environnementales

et de développement durable dans des encyclopédies en ligne et faciliter l'accès aux informations nécessaires par le canal du web.

Pour la surveillance environnementale, et pour la gestion environnementale des sites industriels, il est nécessaire de modéliser, à l'aide de systèmes d'informations environnementales, les données physiques

qui ont fait l'objet d'acquisitions, de mesures, et d'analyses. On commence à voir apparaître des places de marché spécialisées dans le développement durable.

Une autre application des systèmes d'information à l'environnement est constituée par la recherche d'informations sur le développement durable à l'aide d'outils informatiques

il s'agit de la veille environnementale et de la veille sociétale. Communication Avec la mise en place de programmes de développement durable dans les entreprises et d'agendas 21 dans les collectivités territoriales, s'est posé, à partir de 2002, la question de la communication sur le développement durable.

les grands principes, les bonnes intentions (La terre c'est important pour demain) et le jargon inaccessible au public (gouvernance, stakeholders, PADD#)88 réf. insuffisante.

la communication doit mettre simultanément en avant l'aspect environnement/social et les égo-promesses (être en meilleure santé,

échange rendu possible avec l'organisation de dialogues ouverts et réguliers. 91 Le succès d'une communication environnementale repose sur deux facteurs:"

Politique européenne de développement durable Stratégie nationale de développement durable Agenda 21 Agendas 21 locaux Management environnemental Sommet de la terre Éthique appliquée

Responsabilité sociale des entreprises Triple bottom line Parties prenantes Investissement socialement responsable Global Compact Économie de l'environnement Économie bouddhiste Lutte contre la corruption

Utilisation durable de l'eau Utilisation durable des sols Énergie renouvelable Économie d'énergie Agriculture Agriculture durable Agriculture biologique Traçabilité agroalimentaire Sécurité alimentaire Gestion durable des forêts

Écologie industrielle Chimie verte Véhicule propre Gestion des déchets Écoconstruction Haute qualité environnementale Écologie urbaine Technologie Technologie intermédiaire Meilleure technologie disponible Technologie environnementale

Concepts Empreinte écologique Facteur 4 Durabilité Traçabilité Analyse du cycle de vie Filière intégrée Coût total de possession Indicateur environnemental

Controverses sur le développement durable Limites et dérives du concept Comme tous les concepts de l'idéologie humaine, le développement durable trouve aussi ses limites.

Mais comment prendre en compte l'environnement dans cette balance Le risque de dégradation le plus important est

et n'améliore pas la qualité environnementale des produits. Pour le tourisme durable, application du tourisme au concept de développement durable a tendance à être un tourisme d'élite qui,

au nom du respect de l'environnement maintient des barrières entre les classes sociales de l'environnement humain

et croisés entre des notions révolues de l'environnement, du domaine social, et de l'économie.

Par exemple, par le biais du souci de l'environnement, on masque parfois certaines carences culturelles de la civilisation.

tandis que lors de la seconde traduction-par Les Éditions du Fleuve-c'est le terme développement soutenable (traduction littérale de l'anglais sustainable development)

qui est utilisé, à la demande de la Commission mondiale sur l'environnement et le développement (note de l'éditeur, page IX).

Les tenants du terme durable insistent quant à eux sur la notion de durabilité (cohérence entre les besoins et les ressources globales de la Terre à long terme) plutôt que sur l'idée d'une recherche de la limite jusqu'à

laquelle la Terre sera capable de nourrir l'humanité Le terme de développement durable est critiqué également pour le flou qui l'entoure 94,95.

qui est maintenant compromise par les crises environnementales et sociales que connaît le XXI e siècle.

qui regroupe l'ensemble des solutions économiquement viables aux problèmes environnementaux et sociaux que connaît la planète.

Selon Baden, l'amélioration de la qualité de l'environnement dépend de l'économie de marché et de la présence de droits de propriété légitimes

et de développer les mécanismes d'incitation à la protection de l'environnement. L'État peut dans ce contexte créer un cadre

qui encourage les individus à mieux préserver l'environnement, en facilitant la création de fondations dédiées à la protection de l'environnement 99

Le développement durable est critiqué également en ce qu'il peut n'être qu'un outil des pays du Nord contre les pays en développement:

L'environnement peut être le prétexte à une nouvelle augmentation du pouvoir et à des dérives dangereuses de la part des personnes les plus assoiffées de puissance.

"puisqu'il prétend régler les problèmes d'ordre environnemental par ce qui en est l'origine,

qu'il place le pilier économique au dessus des piliers social et environnemental Par ailleurs la traduction du terme par soutenable, plutôt que durable, peut s'expliquer aussi par de vieilles traces du mot en langue française. En effet,

on trouve le mot employé dans une optique environnementale dès 1346, dans l'Ordonnance de Brunoy, prise par Philippe VI de Valois, sur l'administration des forêts.

#Du nom de Gro Harlem Brundtland, ministre norvégienne de l'Environnement présidant la Commission mondiale sur l'environnement et le développement,

École Supérieure des Mines de Saint-étienne (thèse de Science et Génie de l'environnement), Saint-étienne, 2005, lire sur le site agora21 (page consultée le 17 novembre 2008)# Ouvrage publié par le WWF,

les économistes Nicholas Georgescu-Roegen et Serge Latouche, la physicienne et philosophe Vandana Shiva##Par exemple, on estime que l'empreinte écologique mondiale a dépassé la capacité bio-écologique de la Terre à se reconstituer vers le milieu des années 1970 (Source:

#Ce phénomène est directement perceptible au sujet des inégalités d'accès à l'eau#Hans Jonas, Le principe responsabilité, 1979#Michel serres, Le contrat naturel, François Bourin, Paris, 1987((ISBN 2080812416

Notre environnement n'est-il pas trop précieux pour être confié à des écologistes?,La Jaune et la Rouge, 1996#R. M. Solow, On the intergenerational allocation of natural ressources, Scandinavian Journal of Economics, 1986#J. M. Hartwick

Veolia voir www. developpement durable. veolia. com#Ne serions-nous pas déjà en décroissance par Jean-marc Jancovici#Cette question est soulevée par l'économiste Pierre Jacquet,

social et environnemental présenté par M. Philippe Le clézio, rapporteur au nom de la commission ad hoc (Question dont le Conseil économique, social et environnemental a été saisi par lettre du Premier ministre en date du 20 janvier 2009) PDF,

144 pages#Avis du CESE (Comité économique et social européen) adopté et publié en octobre 2008#Voir à ce sujet les travaux de la Commission Stiglitz#L'Institut pour un Développement durable propose dans un rapport une liste d'indices susceptibles de remplacer le PIB#C'est une réflexion

sur les clauses environnementales et sociales#Cet article modifie l'article L-225-102 du code du commerce,

agence M&c#Participer aux débats pour une planète durable#Pour Valérie Martin, direction de la communication de l'ADEME#Stratégies. fr La deuxième génération des directeurs du développement durable

républicain pour une écologie radicale",Sang de la Terre("La pensée écologique"),2009#Receuil Isambert, tome 4, p. 523#La flotte française ayant été décimée lors de cette bataille,

Michel serres François Terrasson Éthique Éthique des affaires Éthique de l'environnement Philosophie de la nature;

et son chapitre IV sur l'environnement Aspects politiques et juridiques Sommet de la terre; Politique européenne de développement durable;

Conseil général de l'environnement et du développement durable; Droit de l'environnement; Charte de l'environnement. Pilotage Aménagement du territoire Tableau de bord prospectif;

Géonomie; Gouvernance; Agenda 21 Agenda 21 local; Achats durables; Objectifs du millénaire pour le développement.

Pilier environnemental Grigore Antipa Albert Demangeon Ernst Haeckel James Lovelock Écologie Évolution Équilibres ponctués Évaluation des écosystèmes pour le millénaire;

Environnement Écologie industrielle Empreinte écologique; Énergie renouvelable Cogénération; Construction durable; Hypothèse Gaïa; Géonomie; Qualité environnementale Haute qualité environnementale;

Recyclage; Sustainable building alliance Convergence et reconnaissance des protocoles d'évaluation de la qualité environnementale; Parc de découverte Eana à Gruchet-le-valasse (Seine-maritime.

Bibliographie Le développement durable, André Jean Guérin et Thierry Libaert. Dunod. Topos. 2008. Atlas mondial du développement durable.

Concilier économie, social, environnement. Anne-marie Sacquet. Autrement. 2002. ISBN 2-7467-0234-7) Le développement durable au quotidien.

Farid Baddache. Éditions d'organisation. 2006. ISBN 2-7081-3607-0) La terre écrite, Pierre Clergeot et Philippe Pinchemel, Publi-Topex, 2001.

De l'inégalité parmi les sociétés, Essai sur l'homme et l'environnement dans l'histoire, Jared Diamond, Gallimard, NRF essais, 2000, ISBN 2-07-075351-4. Effondrement.

Comment les sociétés décident de leur disparition ou de leur survie, Jared Diamond, Gallimard, NRF essais, 2006, ISBN 2-07-077672-7. La décroissance:

rejet ou projets? Croissance et développement durable en question, Frédéric Durand, Editions Ellipses, 2008. Antée 2. Le contrat géographique ou l'habitation durable des territoires.

Trébucq, in Indicateurs d'évaluation de la responsabilité sociale et environnementale des entreprises, ss. La dir.

Dialogue pour une terre habitable. Bayard, 2006. Communiquer efficacement sur le développement durable#De l'entreprise citoyenne aux collectivités durables-Les éditions Démos#Bruno Cohen-Bacrie, Paris 2006 L'ordre public écologique.

Notre mode de vie est-il durable? Nouvel horizon de la responsabilité. Justice et paix France. Édition Karthala. 2005.

pour une écologie radicale, Jean-christophe Mathias, Sang de la Terre("La pensée écologique"),2009. Benoît Eugène, Le"développement durable"Une pollution mentale au service de l'industrie, Agone, n°35,2005, p. 119-133. lire en ligne Revue Développement durable et territoires Revue Vertigo

Jorge Furtado, L'Île aux fleurs (Ilha das Flores), 1989. Kevin Reynolds, Rapa Nui, 1994.

Catégorie Développement durable de l'annuaire dmoz Portail de l'environnement et du développement durable Portail de l'architecture et de l'urbanisme Portail de l'économie Portail de la sociologie Ce document provient de http://fr. wikipedia. org/wiki

Environnement/Articles liés Portail: Architecture et urbanisme/Articles liés Portail: Économie/Articles liés Portail: Sociologie/Articles liés


< Précédent - Suivant >


Overtext Web Module V3.0 Alpha
Copyright Acetic, Semantic-Knowledge, 1994-2010