Sommet de la terre 1992-Wikipédia Sommet de la terre 1992 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre Redirigé depuis Sommet de la terre de Rio de janeiro
Aller à: Navigation, rechercher La Conférence des nations unies sur l'environnement et le développement s'est tenue à Rio de janeiro au Brésil du 3 au 14 juin 1992,
réunissant 110 Chefs d'etats et de gouvernements et 178 pays. Maurice Strong en était le secrétaire général.
Environ 2 400 représentants d'organisations non gouvernementales (ONG) étant présents, tandis que plus de 17 000 personnes assistaient au Forum des ONG
qui se tenait parallèlement au Sommet. Cette conférence, dans le prolongement de la conférence internationale sur l'environnement humain (le premier Sommet de la terre s'étant déroulé en 1972 à Stockholm
à été marquée par l'adoption d'un texte fondateur de 27 principes, intitulé Déclaration de Rio sur l'environnement et le développement
qui précise la notion de développement durable Les êtres humains sont au centre des préoccupations relatives au développement durable. Ils ont droit à une vie saine et productive en harmonie avec la nature.
principe 1), Pour parvenir à un développement durable, la protection de l'environnement doit faire partie intégrante du processus de développement
et ne peut être considéré isolément. principe 4 La Conférence a été notamment l'occasion d'adopter un programme d'action pour le XXI e siècle,
appelé Action 21 (Agenda 21 en anglais), qui énumère quelques 2 500 recommandations concernant la mise en oeuvre concrète des principes de la déclaration.
Il prend en compte les problématiques liées à la santé, au logement, à la pollution de l'air, à la gestion des mers, des forêts et des montagnes, à la désertification, à la gestion des ressources en eau et de l'assainissement, à la gestion de l'agriculture, à la gestion des déchets.
Vaches et moutons en pâture Exemple d'élevage hors-sol; veaux en batterie L'élevage est l'ensemble des opérations
qui assurent la multiplication à l'usage des humains d'animaux souvent domestiques, parfois sauvages
Sommaire 1 But 2 Histoire 2. 1 Origines 2. 2 L'élevage 3 Problèmes posés par l'industrialisation de l'élevage 4 Types d'élevage 5 Elevages
gérer la reproduction des animaux adultes pour les multiplier. leur fournir gite, nourriture, soins, en vue de leur utilisation et/ou de leur production.
les animaux eux-mêmes (jeunes pour l'accroissement des troupeaux, animaux de repeuplement de territoire de chasse ou de pêche, animaux de compagnie;
les produits animaux pour l'alimentation humaine (ou animale: viande, poisson, coquillages, lait, oeufs, miel; des produits non alimentaires:
poils, laine, cuir, plumes, duvet, fourrure, corne, soie, etc.;des sous produits: fumier, lisier, farines animales;
le travail (animaux de trait, chiens policiers, furet de chasse...L'élevage s'applique généralement aux espèces d'animaux domestiques,
mais pas exclusivement. On élève aussi des animaux sauvages, par exemple les visons L'élevage fait appel à un certain nombre de sciences et de techniques
sélection, alimentation animale, médecine vétérinaire, zootechnie#Un fait: de nos jours, l'élevage, peut aussi avoir pour objectifs de contribuer
à la préservation de paysages ouverts, de pâtures à vocation de protection des sols et de puits de carbone;
à la préservation des espèces et des races domestiques à faible rendement menacées de disparition (élevage conservatoire;
animaux de compagnie et de concours, colombophilie, etc. D'après le dernier recensement de la FAO, le monde compte 17 milliards de poulets, 1, 8 milliard de moutons et de chèvres, 1, 4 milliard de bovins, un milliard de cochons et un milliard de canards 1
modifier Histoire modifier Origines Les premiers hommes vivaient de cueillette, de la pêche et de chasse
dont l'explication a été trouvée peut-être chez les aïnous avec leur rituel de l'ours: l'élevage pourrait avoir été produit un d'un rituel sacrificiel, un animal, élevé comme un membre de la famille et en son sein,
servant aux sacrifice lorsqu'un rituel l'exige. La domestication donnant alors (ou non) un résultat en fonction de l'animal utilisé;
loup conduisant à l'apparition du chien, bovin sauvage aux bovins domestiques, ou ours chez les aïnous,
ce qui ne mène à rien de matériellement'utilitaire mais fournit une piste explicative modifier L'élevage
Les premières traces d'élevages d'herbivores ont été découvertes en Mésopotamie il y a plus de 8 000 ans.
Elles sont associées à un culte tauromachique, avec des jeux (dangereux) dont la corrida est une lointaine descendante
Les paysans utilisent la force des animaux pour les travaux agricoles: boeufs et chevaux tirent la charrue ou la herse.
Ils réalisent les corvées de charrois (transport de vin, de blé, de bois, de paille.
Les chevaux étaient parmi les biens les plus précieux des chevaliers et des armées. Plus tard, ils ont halé les navires et péniches sur les fleuves.
la possibilité de fortement doper la production laitière des bovins ou la production de viande par l'usage d'additifs alimentaires ou l'utilisation d'hormones de croissance (somatotropine bovine essentiellement),
ou d'un éclairage artificiel forçant les animaux à se reproduire à des périodes qui ne sont pas naturelles),
ou encore la possibilité de cloner des animaux ou de les modifier par génie génétique sont à l'origine de questions sociétales nouvelles,
Des laboratoires ont réussi à produire par génie génétique des hormones de synthèse (ex somatotropine bovine recombinée)
L'usage de farines animales dans l'alimentation d'herbivores a été à l'origine de la diffusion d'un prion pathogène à l'origine de la maladie de la vache folle.
Les méthodes modernes d'élevage (aliments à base de maïs et soja, farines de poisson,
fumiers) à partir d'élevages (notamment de bovins ou de porcs et à partir des piscicultures) est un problème émergent,
que l'homme consomme annuellement plus de 53 milliards d'animaux par an (dans l'
poulets, canards, porcs, lapins, dindes, moutons, chèvres, bovins et chevaux. Ce qui, en Occident représente 98%de la totalité des animaux avec
lesquels les humains sont en interaction.(.Les abattoirs américains tuent plus de 23 millions d'animaux par jour(..
Selon les estimations de l'ONU (FAO), la production mondiale de viande et de lait doublera d'ici 2050 4. Une questions abordée par les éthiciens est celle de la condition animale,
que certains traitent de manière plus générale dans la question de la responsabilité morale des humains à l'égard des animaux 4. L'élevage génère de nombreux impacts environnementaux, directs ou indirects,
immédiats ou différés estimés importants par l'ONU, et son agence la FAO qui le rappelle régulièrement 5. Le risque de zoonoses s'intensifiera à l'avenir,
compte tenu de la montée démographique et de la croissance de la population animale, des changements dynamiques de la production animale, de l'émergence de réseaux agro-alimentaires mondiaux et de l'accroissement sensible de la mobilité des hommes et des marchandises(..
la concentration excessive d'animaux dans de grandes unités de production industrielle est à éviter, et il faut envisager des investissements pour renforcer la biosécurité
et améliorer la surveillance des maladies afin de sauvegarder la santé publique 6 que la production intensive de viande et de lait génèrent en amont des impacts environnementaux sur les sols, l'air, l'eau et les écosystèmes
L'un des problèmes est l'émission de gaz à effet de serre par les animaux élevés, par la filière viande,
et par les cultures qui alimentent ces animaux et qui contribuent à la déforestation, c'est-à-dire au recul des puits de carbone et d'écosystèmes qui stabilisaient le climat et les microclimats,
L'Organisation mondiale de la santé animale (OIE) a annoncé en 2010 qu'elle allait réunir des experts pour étudier les impacts de l'élevage sur les écosystèmes et les changements climatiques 7
L'élevage bio, axé sur la production d'origine animale et sa commercialisation avec un minimum souhaité d'effet négatif sur l'environnement.
L'élevage conventionnel, axé sur la production d'origine animale (viande, lait, oeuf...et sa commercialisation à grande échelle;
L'élevage bovin L'élevage ovin L'élevage caprin L'élevage équin L'élevage porcin L'élevage avicole L'élevage canin L'élevage félin modifier Voir aussi
Abattage Apiculture, Aviculture, Conchyliculture, Cuniculture, Héliciculture, Pénéiculture, Pisciculture, Sériciculture Basse-cour d'élevage Bien-être animal, Domestication Élevage hors-sol, Élevage en batterie, Élevage intensif
élevage de Toros de lidia Insémination artificielle Impact environnemental de la production de viande Liste des animaux d'élevage Transhumance Unité fourragère Zoonose Conservation de la viande Élevage du vin
#à et b Jean-baptiste Jeangène Vilmer (juriste et éthicien de l'université Yale, Éthique animale#(en) FAO, Livestock's long shadow:
que la production animale est dans le monde en proie à une transformation profonde qui pourrait se traduire par une augmentation du risque de transmission de maladies des animaux à l'homme;
Production animale industrielle et risques sanitaires mondiaux.##Communiqué fait par Bernard Vallat, directeur de l'OIE, rapporté par Agrisalon#J. Hardouin et E. Thys, 1971.
Le mini-élevage, son développement villageois et l'action de BEDIM. Biotechnol. Agrori. Soc. Environ. 1997 1 (2), 92-99.
L'Observation du troupeau bovin, Joop Lensink et Hélène Leruste, Editions France Agricole, janvier 2006, ISBN:
Élevage Question animale Catégories cachées: Page utilisant un modèle obsolète Portail: Agriculture et agronomie/Articles liés Portail:
Un exemple notable est l'incinération de fumier et de bouses comme carburant dans les campagnes indiennes.
pour deux-tiers environ la combustion de la biomasse (d'origine animales ou végétale, essentiellement liée à l'écobuage ou aux incendies de forêts,
mais aussi à l'utilisation de bouses et fumier et résidu de coupes forestières pour la cuisson des aliments ou le chauffage d'habitations. pour un tiers environ une combustion de matière carbonée fossiles (charbon, pétrole essentiellement) En absorbant l'énergie du soleil,
Par exemple, comment chiffrer l'effet externe négatif d'une pollution comme l'engrais azoté puissant du lisier (par exemple de porc) déversé dans les cours d'eau,
On montre ainsi l'exemple des Quatre Dragons (Corée du sud, Taïwan, Singapour, Hong kong), des bébés Tigres (Malaisie, Indonésie, Thaïlande, Philippines, Brunei) ou encore des jaguars (Mexique, Brésil, Argentine, Chili, Colombie,
La crise économique asiatique de 1997 affecte ainsi durement les bébés Tigres avant de se propager aux Quatre Dragons,
Jusque là nous n'usions de ce terme qu'à propos des espèces animales ou végétales, de la mise en valeur immobilière ou des surfaces en géométrie.
et concentrer dans tout ou une partie de leur organisme (partie vivante ou inerte telle que l'écorce ou le bois de l'arbre, la coquille de la moule, la corne, etc..)
moules et huîtres), dans un même milieu et dans des conditions comparables accumulent très différemment les métaux.
le rapport de bioaccumulation entre les huîtres et les moules est d'environ 25 pour l'argent
(ce qui signifie que l'huître en accumule 25 fois plus en moyenne), 0, 5 pour le nickel et le cobalt et de 1 pour le vanadium 1
ou en résidus des plastiques (phtalates) des tissus des poissons de la Seine, par exemple, est immensément plus importante (10,100, 1000 fois plus etc.)
qui maintiennent les poissons en bonne santé, c'est le cas notamment si les poissons arrivent bien à contrôler leur teneur en ces substances
en les éliminant si elles sont trop présentes (homéostasie). La bioaccumulation des phtalates elle, rélève de la toxicité environnementale:
Certaines substances bioaccumulées par les plantes, les animaux et les humains sont connus pour être toxiques,
Les moules et huîtres peuvent concentrer de 700 000 fois à 1 million de fois des substances quasi-indétectables dans la mer
puis concentré par les poissons évoluant en aval des effluents pollués par une usine La bioaccumulation peut fortement exacerber les effets (positifs ou négatifs) de la bioturbation.
-la moule zébrée (moule d'eau douce)( Dreissena polymorpha) accumule les éléments métalliques -Le béluga, le dauphin, le cachalot
modifier Voir aussi modifier Articles connexes Pollution Bioturbation Écologie du paysage Bioconcentration Toxicologie Écotoxicologie modifier Liens externes
programmes actuels-L'argent, le cobalt, le nickel et le vanadium dans les mollusques du littoral français-Les carottes sédimentaires, mémoire de la contamination Bulletin Ifremer, 2002 Télécharger le pdf
Crapaud doré Incilius periglenes Classification Règne Animalia Embranchement Chordata Sous-embr Vertebrata Classe Amphibia Sous-classe
Lissamphibia Super-ordre Salientia Ordre Anura Sous-ordre Neobatrachia Famille Bufonidae Genre Incilius Nom binominal Incilius periglenes (Savage, 1967
Synonymes Bufo periglenes Savage, 1967 Statut de conservation IUCN: EX: Éteint Statut CITES Annexe I, Révision du 01/07/75
Retrouvez ce taxon sur Wikispecies D'autres documents multimédia sont disponibles sur Commons Le crapaud doré ou crapaud de Monteverde (Incilius periglenes) est éteinte une espèce de petit crapaud de la famille des Bufonidae
Elle est classifiée par l'IUCN comme espèce éteinte depuis 2001. Pas un seul spécimen de crapaud doré n'a été aperçu depuis 1989.
L'extinction du crapaud doré est cité comme partie du déclin des populations d'amphibiens, dont il est devenu l'emblème
Sommaire 1 Distribution 2 Biologie 2. 1 Morphologie 2. 2 Reproduction 3 Histoire 3. 1 Extinction 4 Publication originale 5 Liens
externes 6 Notes modifier Distribution Cette espèce se rencontrait dans la cordillère de Tilarán de 1 500 à 1 620 m d'altitude 1 dans la forêt de nuage de Monteverde, une zone de 10 km 2 au Costa rica, en Amérique centrale 1
Le changement climatique dû au réchauffement global est une des causes avancées pour expliquer sa disparition 2, 3
modifier Biologie modifier Morphologie Les adultes mâles mesurent à peine 5 cm en longueur. De couleur jaune orangé phosphorescent 4, ils se distinguaient de la plupart des crapauds par leur peau brillante et luisante.
Son découvreur, Jay Savage, était si surpris quand ils les a vus pour la première fois, qu'il n'en croyait pas ses yeux;
il est cité disant: je dois avouer que ma réaction quand je les ai vus pour la première fois était un mélange d'incrédulité et de soupçon,
Nous savons peu de choses concernant le comportement des crapauds dorés. On pense qu'ils vivaient sous terre 2,
à la suite de laquelle les crapauds retournaient à leurs tanières 2. Les oeufs étaient laissés dans des mares temporaires, dans des sacs,
En 1987, l'écologiste et herpétologue américaine Martha Crump a eu la chance de pouvoir observer les rituels d'appariement de ces crapauds.
Dans son livre In Search of the Golden Frog (À la recherche de la grenouille dorée (sic)),
qu'elle avait compté 133 crapauds qui s'étaient accouplés dans un bassin de la taille d'une cuisine.
Les crapauds essayèrent de s'accoupler de nouveau en mai. Sur 43 500 oeufs que Crump a trouvés,
Habitat du crapaud doré dans la réserve de la forêt de nuages de Monteverde pendant la saison sèche
Jay Savage a découvert le crapaud doré en 1966. Entre 1966 et juillet 1987, plus de 1 500 crapauds adultes ont été aperçus.
Seuls 10 ou 11 ont été vus en 1988, dont un par Crump, et aucun autre n'a été aperçu depuis le 15 mai 1989,
le crapaud doré apparaissait fréquemment sur les affiches qui faisaient la promotion de la biodiversité au Costa rica.
Un crapaud doré aurait été signalé dans les montagnes du Guatemala près de Chichicastenango. Mais ce signalement anecdotique n'a été confirmé pas.
il existe des espèces comparables au crapaud doré dans la même zone de son habitat au Costa rica comme c'est le cas du Incilius holdridgei
encore que le crapaud doré eût survécu dans des refuges souterrains, comme d'autres espèces de crapauds chez lesquels le cycle de vie est supérieur à douze ans.
En 2004, l'IUCN lista l'espèce comme éteinte, après une évaluation impliquant Savage, l'herpétologue
Tim Flannery décrit l'extinction du crapaud doré comme la première extinction au Costa rica due au réchauffement global,
mais ce dernier n'est pas la seule explication concernant l'extinction du crapaud doré.
qui pourraient expliquer la disparition du crapaud dans son article The Case of the Golden Toad:
l'aire limitée de l'habitat du crapaud doré, le réchauffement global, des maladies comme la chytridiomycose et la pollution de l'air.
qui ont contribué à l'extinction du crapaud comme l'augmentation du rayonnement UV-B, des champignons ou des parasites et un ph acide
Bufo periglenes (en)( fr) Le crapaud orange du Costa rica, Bufo periglenes, est considéré actuellement comme disparu. traduction du texte de ADW modifier Notes
Statut IUCN Éteint CITES annexe I Anoure (nom scientifique) Bufonidae Faune endémique du Costa rica Amphibien disparu
Article avec taxobox-animal Portail: Herpétologie/Articles liés Portail: Zoologie/Articles liés Portail: Biologie/Articles liés Portail:
ces munitions toxiques sont source de saturnisme aviaire chez l'homme...le mercure (Hg) pour de très nombreux usages dont les amalgames dentaires et les piles électriques;
C'est le cas des ressources animales d'élevage ou végétales cultivées (biomasse), l'eau d'une nappe d'eau souterraine
En ce qui concerne les ressources vivantes naturelles (gibier, poisson sauvage, mais aussi humus, forêt primaire#),elles ne sont renouvelables
Développement durable Eau, air, sol, Faune, Flore, Fonge Services écosystémiques Gestion restauratoire des ressources Gestion durable des forêts Énergie solaire Énergie éolienne Énergie hydroélectrique Capital naturel
Dans cette perspective, des phénomènes condamnés par la morale classique-le gaspillage, le superflu, l'éphémère, l'exploitation et la redondance-constituent en fait des moteurs du développement économique et de l'innovation
qui distinguerait l'être humain de l'animal, limité dans ses attentes, besoins, envies et aspirations
C'est le cas des ressources animales d'élevage ou végétales cultivées (biomasse), l'eau d'une nappe d'eau souterraine
En ce qui concerne les ressources vivantes naturelles (gibier, poisson sauvage, mais aussi humus, forêt primaire#),elles ne sont renouvelables
Développement durable Eau, air, sol, Faune, Flore, Fonge Services écosystémiques Gestion restauratoire des ressources Gestion durable des forêts Énergie solaire Énergie éolienne Énergie hydroélectrique Capital naturel
Convention sur la protection des phoques de l'Antarctique de 1972 (entrée en vigueur en 1978) Convention sur la conservation de la faune et la flore marines de l'Antarctique de 1980 (entrée en vigueur en 1982) Convention pour la réglementation des activités sur les ressources
Anémone (actrice) Yann Arthus-bertrand (photographe) Charles Berling (acteur) Catherine Chabaud (navigatrice) Julien clerc (chanteur) Yves Duteil (chanteur) Jean-louis Étienne (explorateur) Nicolas
. 1 Classification 7. 2 Virus des procaryotes 7. 3 Virus des plantes 7. 4 Virus des insectes 7. 5 Virus des champignons 7. 6 Virus
un virus est un parasite intracellulaire obligatoire. Il est composé d'une ou plusieurs molécules d'acide nucléique (soit d'ADN,
Tous les êtres vivants peuvent être infectés par des virus. Il existe des virus de bactéries (les bactériophages), des virus d'Archaea, des virus d'algues (Phycodnaviridae), des virus de plantes, des virus fongiques, des virus d'invertébrés, des virus de vertébrés, parmi
Vers 1925, la définition d'un virus 3 était devenue un agent responsable d'une maladie infectieuse, parasite, de nature particulaire et de taille comprise entre 0. 01 et 0. 3 microns 4
ni des parasites était encore difficile Entre 1887 et 1892, le botaniste russe Dimitri Ivanovski étudia une maladie végétale, la mosaïque du tabac,
Les virus des plantes, des animaux, de l'Homme et des bactéries étaient découverts ainsi et leurs listes ne cessèrent de s'allonger au cours du XX e siècle.
ou des micro-organismes devenus des prédateurs ou des parasites dépendants de leur hôte. Les relations de parasitisme entraînent la perte de nombreux gènes (notamment les gènes pour le métabolisme apportés par l'hôte.
le mimivirus, infectant une amibe, possède dans son génome 1 200 gènes (davantage que certaines bactéries.
qui parasite lui-même celui de l'Hépatite b. Il ne comporte qu'un seul gène. Le plus gros virus connu est le mimivirus
C'est le virus animal parmi les plus grands (250 à 350 nm de long sur 200 à 250 nm de large.
Les virus infectant les cellules eucaryotes sont cultivées sur des cultures de cellules obtenues à partir de tissus animaux ou végétaux.
Les virus animaux peuvent aussi être cultivés sur oeufs embryonnés et parfois chez l'animal, lorsque la culture in vitro est impossible.
Les virus bactériens peuvent également être cultivés par inoculation d'une culture bactérienne sensible. Les virus de végétaux peuvent
La structure des virus des plantes ou phytovirus, est similaire à celle des virus bactériens et animaux.
Les virus de végétaux peuvent être disséminés par le vent ou par des vecteurs comme les insectes et les nématodes, parfois par les graines et le pollen.
modifier Virus des insectes Les baculovirus sont des virus d'insectes très étudiés. Ils infectent principalement les lépidoptères.
La larve de l'insecte s'infecte en ingérant de la nourriture. À partir du tube digestif, l'infection peut se transmettre aux autres tissus.
L'utilisation de virus pathogènes d'invertébrés dans la lutte contre les insectes ravageurs des cultures et des forêts pourraient être l'un des moyens pour limiter
ou remplacer les insecticides chimiques. Les baculovirus sont utilisés aussi en biologie moléculaire pour exprimer un gène étranger (protéine recombinante) dans des cultures de cellules d'insecte.
Par ailleurs, certains virus de végétaux sont transmis par des invertébrés mais ne se multiplient pas chez ces vecteurs
modifier Virus des champignons Les virus des champignons sont particuliers car ils se propagent lors de la fusion cellulaire.
Il n'y a pas de virions extracellulaires. Chez les levures comme Saccharomyces, les virus sont transmis au moment du brassage cytoplasmique lors de la fusion cellulaire.
VIH, virus du sida Rétrovirus Coxackie A virus Ebola Virus de la variole Virus de la grippe Virus de la fièvre jaune Virus du Nil occidental Cytomégalovirus Rotavirus Virus de l'Hépatite c Virus simien 40
lorsque leur production est possible sur un temps court (production animale, végétale, etc.)et ne consomme pas elle même une ressource non renouvelable,
et qui au long du Moyen-âge avait constitué la base de leur régime carnivore hautement protéiné.
Vers 1600 également les habitants de l'île micronésienne de Tikopia viennent en concurrence avec les porcs,
Mammifère-Wikipédia Mammifère Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre Aller à: Navigation, rechercher Mammifères
Le lion, un mammifère emblématique Classification Règne Animalia Embranchement Chordata Sous-embr Vertebrata Classe Mammalia Linnaeus, 1758
Classification phylogénétique Position: Amniotes Synapsida Mammifères Protothériens (monotrèmes) Thériens Métathériens (marsupiaux) Euthériens (placentaires) Sauropsida Sous-divisions de rang inférieur
Protothériens Monotrèmes (ornithorynque, échidné) Thériens Métathériens Marsupiaux (koala, kangourou, etc. Euthériens (ou placentaires) Xénarthres (fourmilier, tatou, paresseux) Pholidotes (pangolin) Cétartiodactyle Artiodactyles (cochon, girafe, vache, etc.
Cétacés (baleine, cachalot, dauphin, etc. Carnivores (chien, lion, ours, etc. Chiroptères (chauve-souris) Dermoptères (galéopithèque) Primates (gorille, chimpanzé, Orang-outan, etc.
Scandentiens (toupaye) Insectivora (hérisson, taupe, etc. Macroscélidés (macroscélide) Lagomorphes (lapin, lièvre, etc. Rongeurs (écureuil, rat, souris, etc.
Pinnipèdes (otarie, phoque, etc. Siréniens (dugong, lamantin) Périssodactyles (cheval, rhinocéros, etc. Proboscidiens (éléphant) Hyracoïdes (daman) Tubulidentés (oryctérope) Incertae sedis Multituberculata (éteint) Volaticotheria (éteint) Palaeoryctoides (éteint) Triconodonta (éteint) Docodonta (éteint)(*non monophylétique
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Les Mammifères (classe des Mammalia) forment un taxon inclus dans les vertébrés, traditionnellement une classe, définie dès la classification de Linné.
Ce taxon est considéré comme monophylétique Les mammifères partagent des ancêtres communs avec les reptiles et les oiseaux
(qui forment avec eux le taxon des amniotes). Ce taxon regroupe près de 5400 espèces,
et selon les classifications scientifiques choisies sont distribués près de 29 ordres, 153 familles et 1200 genres 1. De nombreuses espèces de mammifères sauvages,
en dépit d'un statut d'espèce protégée figurent sur des listes rouges d'espèces menacées, en particulier les grands carnivores.
Certains font l'objet de plans de restauration ou de réintroduction. De nombreux mammifères élevés par l'homme jusqu'au XIX e siècle (pour la traction animale, la viande, le lait, la laine ou comme animal de bât) ont disparu
ou ont régressé fortement au profit de quelques espèces sélectionnées pour leur productivité. Quelques espèces sont devenues invasives
soit parce qu'introduites hors de leur biotope naturel ou suite à la disparition de leurs prédateurs naturels
Sommaire 1 Description 1. 1 Caractéristiques 1. 1. 1 Le crâne 1. 1. 2 Les dents 1. 1. 3 Le reste du squelette 1. 1
. 4 Les téguments 1. 1. 5 Le système circulatoire et autres caractéristiques 1. 2 Comportements 2 Systématique 2. 1 Origine 2. 2 Histoire de la taxonomie
2. 3 Classification 2. 3. 1 Phylogénétique 2. 3. 2 Classique 3 Nombre d'espèces 4 L'étude des mammifères 5 Notes et références
5. 1 Sources 6 Annexes 6. 1 Articles connexes 6. 2 Référence externes 6. 3 Liens externes
modifier Description Les mammifères sont caractérisés d'abord-comme leur nom le rappelle-par l'allaitement La denture est un des éléments utilisés pour la classification des mammifères et pour leur évolution
Les mammifères, classe d'animaux vertébrés, vivipares (excepté les monotrèmes), qui sont caractérisés essentiellement par l'allaitement des jeunes, d'un coeur à quatre cavités,
d'un système nerveux et encéphalique développé, une homéothermie c'est-à-dire par une température interne constante et une respiration de type pulmonaire.
Si leur température corporelle est normalement constante et aux alentours de 36 à 39°C, les jeunes, certains marsupiaux, monotrèmes, xénarthres,
ainsi que les mammifères qui hibernent présentent des températures variables. Bien que les mammifères soient adaptés initialement à la vie sur la terre ferme,
certains se sont adaptés secondairement à la vie en milieu aquatique ou marin. Contrairement par exemple, aux crocodiles ou aux sauriens,
et bien que leur forme puisse énormément varier selon les espèces, les membres des mammifères sont situés verticalement au dessous du corps,
les maintenant en général plus haut par rapport au sol modifier Caractéristiques On distingue les mammifères par les caractéristiques physiques uniques de leur crâne supérieur et inférieur, de leur denture, de leur colonne vertébrale, par la présence de membres parasagittaux (exception faite de l'ornithorynque), les téguments et leurs formations annexes comme les poils
qui ont évolué en piquants, en écailles, ou en plaquettes, certaines caractéristiques physiologies comme la ventilation pulmonaire efficace ou l'endothermie
modifier Le crâne Crâne de synapside d'un reptile mammalien Légende: j: jugal; p: pariétal;
po: postorbitaire; q: carré; qj: quadratojugal; sq: squamosal Au sein des hominidés, l'Homme a le squelette le plus adapté à la bipédie,
bien qu'il ressemble à celui des grands singes L'évolution a doté certains mammifères, telles les chauves-souris de capacités particulières telles que le vol ou l'écholocation
Certains mammifères terrestres ont évolué pour (re) devenir marins (cétacés, siréniens) comme ces grands dauphins Pour mieux comprendre l'évolution des mammifères,
la recherche paléontologique des chaînons manquants et l'étude des espèces atypiques (ici Ornithorhynchus anatinus) sont complétées aujourd'hui par l'étude de l'ADN et ADN mitochondrial
L'étude paléontologique des mammifères qui ont disparu (ex.:smilodon), et des causes de leur disparition peut nous éclairer sur les enjeux et conséquences des extinctions récentes ou actuelles
Le crâne des mammifères est synapside. Il possède deux condyles occipitaux permettant l'articulation à l'os atlas, la première vertèbre cervicale.
Le volume de la boîte crânienne est important, en comparaison avec les reptiles par exemple, pour loger un encéphale et surtout un cervelet plus important.
La cavité buccale est partagée en un étage olfactivo-respiratoire et un étage masticateur par une structure osseuse,
ce qui permet la respiration et mastication simultanées. L'os carré a évolué pour devenir l'enclume 2
et avec le marteau et l'étrier, compose l'oreille moyenne. La mâchoire est puissante
et richement innervée. Elle est constituée d'un seul os dentaire et qui constitue la mâchoire inférieure,
et s'articule avec l'os squamosal pour se mouvoir modifier Les dents Les dents sont partie la la plus dure du squelette,
c'est pourquoi de nombreux mammifères fossiles ne sont connus que par leurs dents, complétées parfois d'un fragment de mâchoire ou mieux encore leur crâne.
Les dents sont typiques de chaque espèce et permettent notamment d'évaluer le régime alimentaire des espèces
auxquelles elles appartenaient. Comme chez les thérapsides, le groupe à partir duquel il est admis qu'ils se soient différenciés,
les mammifères ont une denture ayant la particularité d'être thécodonte (dents implantées dans des alvéoles de la mâchoire) hétérodonte (dents différenciées et spécialisées en incisives, canines, prémolaires et molaires),
exception faite par exemple des Odontocètes redevenus homodontes et a fortiori des mammifères ayant perdu leur dents comme certains monotrèmes et paresseux. diphyodontie (2 dentitions successives:
la denture définitive remplace la denture lactée. Les édentés ont perdu leurs dents. Certains mammifères ont des dents à croissance continue (ex.:
castor modifier Le reste du squelette La plupart des mammifères ont sept vertèbres cervicales, exception faite des lamantins, des paresseux didactyles
qui en ont six et les paresseux tridactyles qui en ont neuf. Descendant des tétrapodes, ce sont des quadrupèdes,
ou du moins il leur en reste des os vestiges comme chez les cétacés. La colonne vertébrale est différenciée,
il y a présence de côtes et d'un diaphragme. Les membres antérieurs, comme chez les mammaliens sont dirigé à autopode vers l'avant.
L'oreille interne est également très particulière, cette particularité est utilisée souvent par les paléontologistes pour déterminer
si un fossile est bien un mammifère modifier Les téguments Le pelage est une formation dermique caractéristique
qui sert à la régulation thermique. Dans certains cas, il a évolué pour former des plaques de protection comme chez les pangolins
modifier Le système circulatoire et autres caractéristiques Le coeur est divisé parfaitement en deux oreillettes et deux ventricules.
Ils possèdent tous des glandes lactéales, ils nourrissent tous leurs jeunes par du lait produit par les femelles.
Les monotrèmes sont les seuls mammifères à ne pas posséder de mamelles modifier Comportements Ils apportent des soins aux jeunes
Histoire évolutive des mammifères Les plus anciens fossiles connus datent d'environ-220 Ma au cours du Trias.
les distingue des reptiles À la fin du Crétacé, durant le Maastrichtien, on n'a recensé jusqu'ici que 150 à 300 espèces de mammifères regroupées dans 27 familles,
dont une dizaine de familles de marsupiaux, et une dizaine de placentaires 3. Alors que les dinosaures disparaissant massivement,
les mammifères placentaires et marsupiaux connaissaient une explosion radiative majeure sans équivalent dans l'histoire des mammifères.
La radiation évolutive des quelques espèces de mammifères concernées est due à certains caractères propres comme par exemple les ailes et le système d'écholocation des chiroptères
De nombreuses recherches, relancées par la génétique 4, nous permettent de comprendre comment s'est déroulée cette explosion radiative.
Une des hypothèses les plus intéressantes est celle du groupement des afrothériens, qui regrouperait les restes d'une radiation s'étant déroulée sur le Gondwana à l'époque où il était séparé de la Laurasie.
Les afrothériens regroupent les proboscidiens, les hyracoïdes, les siréniens, les tubulidentés, les macroscélides, ainsi que des familles classées dans les insectivora, les rats-taupes et les tenrecs et potamogales.
Cette hypothèse regroupe des'petits'groupes, et expliquerait d'une manière unifiée leur réduction, à savoir la compétition des autres mammifères lors de la reconnexion avec l'Asie
Selon cette hypothèse, une division ancienne des mammifères placentaires consisterait en quatre groupes, les afrothériens, les xénarthres (Amérique du sud),
les euarchontoglires (regroupant primates, dermoptères, scandentiens et glires) et laurasiathériens (chiroptères, cétartiodactyles, périssodactyles et insectivores stricto sensu),
ceux-ci correspondant à la radiation en Laurasie modifier Histoire de la taxonomie Comme le nom l'indique (mammifère signifie qui porte des mamelles, du latin mamma mamelle 5),
les femelles de cette classe peuvent allaiter leur progéniture. Les glandes mammaires sont une évolution des glandes sudoripares
qui donnent des champs mammaires chez les protothériens et de vraies mamelles chez les autres mammifères
qui avait repéré un ensemble de vertébrés quadrupèdes, vivipares et porteurs de poils. Mais cette classification d'Aristote avait l'inconvénient d'exclure les cétacés et les chiroptères,
qui étaient classés alors respectivement parmi les poissons et les oiseaux. La découverte des monotrèmes (par exemple l'ornithorynque) est ultérieure (1798) à la définition de Linné (1758),
mais elle a confirmé la pertinence de la classification opérée par le savant modifier Classification modifier Phylogénétique
Article détaillé: Mammalia (classification phylogénétique Le groupement des ordres placentaires entre eux est un sujet de recherche
Le tableau indique une division correspondant plus ou moins aux ordres. Comme dans toute phylogénie, celle-ci reflète le savoir courant.
Dans les zones d'incertitudes, citons la position des taupes dorées (ou rats-taupes, chrysochloridés) et des tenrecs (tenrécidés)
qui pourraient devoir être séparés des insectivora modifier Classique La classification des mammifères est complexe. D'une manière simplifiée, on reconnaît trois grands groupes de mammifères,
dont le regroupement correspond au type de placentation possédé par leurs représentants Les protothériens. Ce nom désigne le fait
que les animaux de ces espèces possèdent un placenta très imparfait. Ces animaux pondent des oeufs non cléidoiques.
Les petits, après éclosion, sont allaités par la mère. Il n'y a plus aujourd'hui que 3 espèces dans ce groupe:
l'ornithorynque (Ornithorynchus anatinus), l'échidné australien (Zaglossus sp. à courtes pattes et à long nez,
et l'échidné d'Océanie (Tachyglossus sp.),à longues pattes et à nez court. Les métathériens ou marsupiaux.
Ils ne sont représentés plus qu'en Australie, en Océanie et en Amérique du sud. Leur particularité est de mettre au monde des foetus
qui ne sont pas à terme: ceux-ci doivent alors s'agripper aux poils pour rejoindre la poche ventrale,
ou marsupium, où ils trouveront des mamelles qui les nourriront afin d'achever leur développement. Ce marsupium peut,
selon les espèces, abriter le jeune plusieurs mois après que son développement soit arrivé à terme. Les représentants les plus connus sont les kangourous, les wallabies, les koalas, les opossums et les wombats.
Seules quelques espèces d'opossums vivent en dehors de l'Australie. Sur cette dernière, les marsupiaux occupent l'ensemble des niches écologiques dévouées aux placentaires sur les autres continents:
il existe des taupes marsupiales blanches, comme des rats-kangourous et des opossums arboricoles. Les euthériens ou placentaires.
Ils regroupent l'ensemble des autres mammifères. Leur principale différence avec les deux premiers groupes est
qu'ils possèdent un vrai placenta, plus ou moins décidué selon les espèces, qui a pour rôle de nourrir l'embryon
et le foetus. Liste alphabétique des genres de mammifères Liste alphabétique des noms vernaculaires de mammifères modifier Nombre d'espèces
Nombre d'espèces de mammifères globalement menacées dans chaque pays en 2000: de 64 à 140 de 28 à 63 de 13 à 27 de 0 à 12
Parmi les mammifères, les placentaires sont les plus nombreux avec environ 5 100 espèces regroupées dans 114 familles;
viennent en second les marsupiaux qui comptent 270 espèces regroupées en 16 familles, et seulement trois espèces en 2 familles pour les monotrèmes.
Ils sont présents sur l'ensemble de la Terre, dans tous les types de milieux terrestres.
Chaque année, pour environ 10 000 nouvelles espèces animales découvertes, cinq à dix seulement sont des mammifères.
Ce chiffre a augmenté considérablement puisqu'on estime que durant la première décennie du XXIE siècle,
ce sont plus de 300 nouvelles espèces qui ont été décrites 6. Il faut voir là l'impact de l'outil génétique qui permet de distinguer des espèces à l'apparence identique.
Certains spécialistes pensent que 7 000 espèces sont encore inconnues une partie d'entre elles étant menacées d'extinction 7
modifier L'étude des mammifères La discipline qui étudie les mammifères se nomme la mammalogie
Vous pouvez consulter ici une liste de mammalogistes modifier Notes et références #Wilson, D. E.,and Reeder, D. M. eds), Mammal Species of the World, Johns Hopkins University Press, 16/11/2005 (ISBN 0
-801-88221-4)#(en) Mammaliformes: Overview-Palaeos#Le Paléogène et la radiation des mammifères, Emmanuel Gheerbrant#Frédéric Delsuc, Jean-françois Mauffrey, Emmanuel Douzery, Une nouvelle classification des mammifères, dans La Science, vol. 303, Janvier
2003 texte intégral#Définitions lexicographiques et étymologiques de mammifère du CNRTL.##Reeder et al. 2007).#
)# Ceballos et Ehrlich (2009 modifier Sources Gerardo Ceballos et Paul Ralph Ehrlich (2009), Discoveries of new mammal species and their implications for conservation and ecosystem services, Proceedings
mammifère sur Wikimedia Commons (ressources multimédia) Mammifère sur le Wiktionnaire (dictionnaire universel modifier Articles connexes
Histoire évolutive des mammifères Photo-guide taxinomique du monde animal Eucaryote Règne animal Chordé Vertébré Tétrapode Arbre phylogénétique modifier Référence externes
Mammalia Linnaeus, 1758 (fr)(+version (en)) Référence Fonds documentaire ARKIVE: Mammalia (en) modifier Liens externes The American Society of Mammalogists, photos de mammifères, classées par genre (en) Atlas des Mammifères du Monde, cartes de distribution dossier mammifère Portail European Mammal Assessment, EMA:
évaluation de l'état des populations de mammifères en Europe Emmanuel Gheerbrant, Le Paléogène et la radiation des mammifères, CNRS Didier Grandperrin, L'ORIGINE ET LA RADIATION DES MAMMIFERES, académie de Orléans-Tours
v d m Ordres de Mammalia vivants Les mammifères Prototheria les monotrèmes Monotremata Metatheria les marsupiaux
Didelphimorphia#Paucituberculata#Microbiotheria#Dasyuromorphia#Peramelemorphia#Notoryctemorphia#Diprotodontia Eutheria les placentaires Xenarthra#Dermoptera#Scandentia#Primates#Rodentia#Lagomorpha#Insectivora#Chiroptera#Pholidota#Carnivora#Perissodactyla#Cetartiodactyla#Afrosoricida#Macroscelidea#Tubulidentata#Hyracoidea#Proboscidea#Sirenia
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